Le rire, la moquerie, la dérision sont des entreprises de purification, de
déblaiement. Ils préparent des salubrités futures. ( Romain GARY )



mercredi 15 avril 2015

Une majorité municipale active et déterminée...


                                                                          

Le public était venu nombreux à la mairie d’honneur en ce 14 Avril ensoleillé pour assister au Conseil municipal de Roquebrune sur Argens. Il est vrai que l’ordre du jour le méritait et des questions d’intérêt majeur étaient soumises aux édiles municipaux.
C’est ainsi qu’a été votée à une majorité écrasante une décision concernant le réaménagement de la Place Perrin permettant ainsi la redynamisation du Village avec la création, entre autre, d’une zone pédestre, d’un terrain de boules, d’une antenne de l’Office de tourisme et d’un lieu de dégustation des produits du terroir.
Le deuxième point fort a été l’annonce par le maire de la non augmentation des taxes directes locales. «  Chose promise, chose due ».
L’équipe minoritaire MIMOUNI-CAYRON-BRANCHET, une fois de plus, s’est ridiculisée par la méconnaissance des dossiers traités.  
Les membres de l’opposition minoritaire municipale sont hilarants. Avec leurs aveux incontrôlés en plein conseil municipal, ces olibrius débloquent sévère. Ils commettent bourde sur bourde. Qu’ils ne comprennent pas les dossiers est inquiétant. Mais, après tout, cette inaptitude est sans effet puisqu’ils ne sont pas prêts de gérer la commune et c’est tant mieux.
L’association habituelle des délateurs et des manipulateurs a tenté, sans réussir, de transformer le conseil municipal en représentation des Atrides.
Le ton pathétique des interventions ( de moins en moins nombreuses ) de Jean Cayron frisait le ridicule. Son intolérance affleurente, son activisme anxiogène, son pessimisme furieux, son autoritarisme archaïque en a fait pouffer plus d’un dans l’assistance. C’est désormais une certitude : Jean Cayron est un homme du passé, leader d’une caste fermée aux idées étroites.
Monsieur Branchet, quant à lui, «  enfant spirituel » de son égérie Mimouni, était plus exalté qu’un pentecôtiste. Il invente, à chaque Conseil, une commedia dell’arte politique. Grand inquisiteur et parango de l’ordre moral, on le voit souvent, ces derniers temps, à l’église du village dont il ignore malheureusement le nom. Quant à madame Mimouni : « no comment ». Son seul intérêt est désormais de siéger au Conseil départemental. Elle s’est condamnée toute seule à une expiation éternelle. Héro d’un soir, elle est retournée au néant.
Cette opposition minoritaire, elle le sait fort bien, est à la fois incapable de s’unir et inapte à gérer notre belle commune de Roquebrune.
Elle se comporte comme une jungle qui attend son lion, alors qu’elle n’est qu’une assemblée de grenouilles qui se cherche un roi.
Et pendant ce temps-là, la majorité, elle, travaille, pour le bien de tous les Administrés…
Patrick JOURON

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