Chère Madame Mimouni,
oserais-je écrire chère Josette ?
Je n’aurais jamais pensé
avoir le courage, un jour, de vous l’avouer. Le fait que vous citiez mon nom
dans votre écrit sur Facebook, prouve que vous vous intéressez à mon humble
personne. Alors, je me lance, Laurent Gregoriou, qui d’habitude est mon « nègre »
attitré, étant trop pris ces temps-ci pour écrire à ma place.
J’adore ce que vous
faites et j’apprécie tout particulièrement toutes les nombreuses actions et
réalisations que vous avez contribué à faire entreprendre sur Roquebrune en votre qualité de
Conseillère départementale. Vos multiples propositions concrètes et constructives,
lors des conseils municipaux, ces 6 dernières années n’ont pas, à mon avis, été
assez mises en exergue.
Vos qualités de
comptables et, disons-le, d’érudit, ne sont pas assez reconnues. Je m’engage à
les promouvoir ces prochaines semaines. J’ai trouvé anormal, et beaucoup
partage mon sentiment, que votre ancien colistier vous ai abandonné au bord du
chemin tel un compagnon dont on se sépare au moment des vacances. On me dit que
vous prenez votre retraite; Roquebrune vous regrettera.
Voilà, c’est dit. Il
fallait, un jour ou l’autre, que je vous avoue tout le bien que je pensais de
vous. Vous êtes, et j’ose l’écrire, le phénix de Roquebrune.
Très
fidèlement vôtre,
Patrick JOURON
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