Les nominés sont : Monsieur CAYRON (QI plat),
le bigorneau d’or. Populiste et démagogue il s’inscrit toujours dans une
démarche malveillante afin de masquer les insuffisances de sa réflexion. Dans
le domaine de la bêtise, c’est un peu une valeur refuge. Comme on dit en
Provence : Avé d’esperit coume uno fedo baneto (il est spirituel comme une
brebis à cornes). Pour la pauvre Madame
MICHAU (QI de 20), l’huitre d’argent pour son narcissisme, son nombrilisme et
son incompétence qui ont conduit à ce qu’elle soit virée de la SEM municipale
et perde toutes ses délégations. On lui conseille de se reposer en se mettant,
au besoin, en arrêt maladie. Pour le brave Monsieur PASQUETTE, représentant de
l’Extrême droite, (QI de 20), la truffe de bronze pour ses prises de paroles intempestives
et décousues. Des cours de français lui seraient salutaires. Il est condamné à
rester dans le néant qu’il n’a jamais quitté.
Soyons clairs ; ces 3 olibrius débloquent
sévère. Ces pauvres hères n’ont toujours pas compris qu’il y a un temps pour
tout. Un temps pour les campagnes électorales un temps pour l’action municipale. Un temps pour les polémiques et les effets de tribune, un temps pour les échanges et les améliorations de projets. Cela dans le seul but d'être utile aux autres et de
réussir collectivement pour l'attractivité de notre chère ville de Roquebrune-sur-argens et le mieux-être de ses habitants.
Une démocratie vivante repose sur ces principes. Il y a une majorité
municipale qui propose, puis décide. Dans l'intervalle il y a une opposition qui critique et devrait chercher à améliorer les projets. Ces échanges
devraient être constructifs et respectueux des personnes et du travail accompli.
Tout cela est sain et républicain. Or, on constate, avec peine, (le Conseil
municipal d’hier en est un exemple frappant), une dérive faite d'oppositions systématiques et caricaturales, d'attaques violentes dans
l'anonymat relatif d'internet des réseaux sociaux et des tracts mensongers. On accuse ainsi le Maire de tout et son contraire, alors que
depuis son élection il ne cesse de prendre des décisions d’ouverture et de
proposer à l’opposition d’intégrer des structures et des commissions
municipales dans lesquelles elle pourrait faire des propositions et être ainsi
utile. Le risque du mensonge ou de l'opposition stérile, est d'abord de rendre ce
positionnement politique inutile parce qu'excessif. Il conduit d'autre part, par calcul électoral, à faire naître chez nos concitoyens des peurs et des exaspérations qui n'ont pas lieu d'être. Ce n'est pas digne d'élus.
L’attitude des 3 ostrogots visés plus haut me
fait penser à une expression provençale qui leur va « comme un gant » :
A la fiero, manco pas d’ase que se semblon (A la foire, beaucoup d’ânes se
ressemblent).
Patrick JOURON
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