Les Français ne savent toujours pas où ils vont. Ils ont subi une avalanche d'explications et de conseils souvent démentis les jours suivants; aussi ont-ils l'impression que ce qui s'est déroulé avec les masques se reproduit avec les tests.
Les citoyens se sont retrouvés infantilisés, dans l'attente d'instructions puisque l'État disait, bien imprudemment, tout prendre en charge.
Malgré les discours présidentiels grandiloquents le chef de l’état et le gouvernement se sont retranchés derrière des scientifiques qui se sont montrés, pour une grande majorité, plutôt circonspects face à une réalité épidémiologique insaisissable.
Le gouvernement a avancé à marche forcée à coups d'ordonnances modifiant le cadre juridique de la vie des entreprises et de milliards puisés on ne sait où. Le Premier ministre va quitter ses fonctions dans peu de temps en désaccord avec son patron. Deux conclusions peuvent être tirées de tout cela. D'abord, la crise qui s'annonce va être extrêmement dure. Il y aura une rechute avec les conséquences connues. La comparaison avec les systèmes de santé d'autres pays montre qu'il ne sert à rien de dépenser beaucoup d'argent dans des structures paralysantes tout en réduisant les moyens pratiques et en pressurant les personnels.
Parlons, enfin, de choses qui fâchent ; les élections municipales pour les communes où les listes n’ont pas été élues dès le premier tour. Il est fort probable que nous revoterons pour les 2 tours et que cela se passera fin septembre à moins que Monsieur Macron ayant peur pour les listes de la République en Marche repousse l’élection en mars prochain.
Une chose est certaine ; quel que soit la manipulation utilisée, une grande majorité des Français ne votera pas pour les listes de la République en Marche.
Au fait sur Roquebrune sur Argens on m’a parlé d’une liste soutenue à la fois par la République en Marche et le parti socialiste. Un conseil : qu’elle demande plutôt l’investiture à Brigitte Bardot ; ce sera plus payant.
Les citoyens se sont retrouvés infantilisés, dans l'attente d'instructions puisque l'État disait, bien imprudemment, tout prendre en charge.
Malgré les discours présidentiels grandiloquents le chef de l’état et le gouvernement se sont retranchés derrière des scientifiques qui se sont montrés, pour une grande majorité, plutôt circonspects face à une réalité épidémiologique insaisissable.
Le gouvernement a avancé à marche forcée à coups d'ordonnances modifiant le cadre juridique de la vie des entreprises et de milliards puisés on ne sait où. Le Premier ministre va quitter ses fonctions dans peu de temps en désaccord avec son patron. Deux conclusions peuvent être tirées de tout cela. D'abord, la crise qui s'annonce va être extrêmement dure. Il y aura une rechute avec les conséquences connues. La comparaison avec les systèmes de santé d'autres pays montre qu'il ne sert à rien de dépenser beaucoup d'argent dans des structures paralysantes tout en réduisant les moyens pratiques et en pressurant les personnels.
Parlons, enfin, de choses qui fâchent ; les élections municipales pour les communes où les listes n’ont pas été élues dès le premier tour. Il est fort probable que nous revoterons pour les 2 tours et que cela se passera fin septembre à moins que Monsieur Macron ayant peur pour les listes de la République en Marche repousse l’élection en mars prochain.
Une chose est certaine ; quel que soit la manipulation utilisée, une grande majorité des Français ne votera pas pour les listes de la République en Marche.
Au fait sur Roquebrune sur Argens on m’a parlé d’une liste soutenue à la fois par la République en Marche et le parti socialiste. Un conseil : qu’elle demande plutôt l’investiture à Brigitte Bardot ; ce sera plus payant.
Patrick JOURON
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire